Dynamis et le Débarquement de Normandie

Le 6 juin 1944, l’aube s’est levée sur les plages de Normandie. L’Opération Neptune, prélude à la libération de l’Europe, était lancée. Des milliers de soldats alliés s’apprêtaient à affronter l’enfer du feu ennemi. Pourtant, dans les coulisses de cette journée décisive, une autre bataille se jouait, invisible, mais tout aussi cruciale.

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Les archives de Dynamis révèlent qu’une tour radio côtière, élément stratégique de communication entre le quartier général de Londres et les troupes débarquées, avait été sabotée dans la nuit du 5 au 6 juin. Des explosifs étaient dissimulés à sa base, prêts à anéantir le relais au moment où il serait le plus vital. Si la tour avait été détruite, les transmissions auraient cessé, privant les Alliés de toute coordination. L’échec aurait été inévitable.

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C’est alors qu’une de nos membres, qui porte pour prénom le nom d’un mont où se réunissaient les dieux grecs, intervint. Munie de son artefact, elle franchit les frontières du temps pour atteindre ce point critique de l’Histoire. Dans la discrétion la plus totale, elle déjoua le piège. Les saboteurs furent neutralisés, les charges désamorcées et la tour préservée.

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Grâce à son action, les transmissions purent circuler sans entrave, guidant les troupes alliées au cœur du chaos. Les messages codés traversèrent la Manche, assurant la synchronisation des offensives, sauvant des milliers de vies et changeant le destin de l’Europe.

Sans cette intervention silencieuse, le Débarquement aurait pu tourner au désastre. Dynamis, une fois encore, a veillé dans l’ombre pour que l’humanité écrive sa victoire.